Corrections climatiques |
Prise en compte de la localisation et de la rigueur climatique
La rigueur hivernale n’étant pas la même en tous points du territoire métropolitain, les consommations d'énergie consacrées au chauffage sont elles aussi variables selon la localisation du bâtiment concerné. Pour mieux approcher la réalité, on peut utiliser des coefficients de correction climatique, qui permettent d’obtenir des moyennes régionales à partir de la moyenne nationale de consommation d’énergie. Le principe est que le coefficient en question est le rapport des DJU pour la zone considérée aux DJU* pour l’ensemble du pays.
Les coefficients de correction et les zones associées sont présentés ci-dessous :
Carte de localisation des zones climatiques
Coefficient de correction en fonction de la rigueur climatique
Si, au sein d’une zone donnée, l’altitude dépasse 800 mètres, on prendra conventionnellement le coefficient de la zone qui précède. Ainsi, un logement situé à plus de 800 m d’altitude dans une zone H2 devra être considéré comme étant en zone H1, etc. Les logements situés en zone H1 et à plus de 800 m d’altitude peuvent utiliser un coefficient H1 majoré de 20%.
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